mardi 18 mars 2008

Capitaine corsaire

Un petit codicille : les attentats du 911 sont des attentats intentés par avions (même si l'avion qui est censé s'être écrasé sur le Pentagone n'est peut-être pas un avion du tout, en tout cas certainement pas un Boeing 757-200). Après tout, cela aurait pu être des attentats perpétrés par camions, ou que sais-je. Il existe tellement de moyens de fomenter des attentats que ce n'est certainement pas le fait du hasard si ce sont des avions qui ont été utilisés pour les attentats du 911. C'est le signe que les terroristes avaient accès facilité aux avions et aux techniques de pilotage. On conviendra pourtant que le recours à l'aviation pour produire des attentats n'est pas le moyen le plus évident. Il suppose un entraînement approfondi, qui ne correspond nullement au profil des terroristes présumés, qui, selon des témoignages concordants, notamment de moniteurs, étaient des piètres pilotes, quand ils n'étaient pas des incapables comiques, se lançant dans des prières désespérés en plein vol pour tenter de pallier à leurs carences rédhibitoires.
Que ce soit ces profils de pilotes qui se trouvent accusés par le FBI et l'Administration américaine d'avoir fomenté et orchestré les attentats démontre qu'ils ne sauraient être les véritables cerveaux. Tout juste des lampistes. Par contre, l'implication d'avions et la maîtrise impressionnante de ces avions annoncent que ceux qui ont monté les attentats étaient bien implantés dans l'aviation et disposaient de solides entrées au sien du monde de l'aviation.
1) Les terroristes vivaient, voire s'entraînaient sur des bases militaires américaines, notamment en Floride.
2) La coordination logistique impressionnante des attentats indique que les cerveaux du 911 possédaient une maîtrise pointue dans le domaine de l'aviation.
3) L'examen du tracé suivi par les avions piratés et déroutés est tellement surprenant et zigzaguant, il correspond tellement mal à des intentions d'urgence terroriste (et tellement bien à un pilotage "automatique") que l'on est amené à se demander si des techniques de pilotage à distance n'ont pas été utilisées, à l'instar de techniques militaires issues de la technique Global Hawk.
4) La passivité quasi criminelle de la FAA indique des complicités dans les hautes sphères militaires et civiles de l'aviation américaine. Rappelons que la défense américaine s'est trouvée annihilée pendant presque deux heures le 911 et que c'est grâce à ce hasard plus que providentiel que les attentats ont pu être menés à bien.
5) Le comportement éminemment suspect du NORAD indique quant à lui une implication de nature militaire. Non seulement la plupart des avions de chasse du NORAD situés sur les bases américaines nombreuses autour de New York et de Washington étaient curieusement employés le 911 à d'autres missions, mais les (rares) chasseurs qui ont décollé ont été dépêchés à l'autre bout des États-Unis et n'en sont revenus qu'à allure réduite. Tout aurait été fait pour empêcher le NORAD de suivre ses procédures habituelles de contrôle des avions au comportement suspect qu'on n'aurait pas agi autrement.
6) L'hypothèse d'un missile envoyé sur le Pentagone, qui expliquerait bien mieux qu'un Boeing pachydermique les dégâts observés au Pentagone, mentionne que ce missile aurait pu être envoyé depuis un avion, hypothèse qui implique une nouvelle fois l'aviation militaire américaine.
Tous ces faits, plus éloquents que tous les discours officiels, tendent à incriminer des complicités évidentes dans l'aviation, en particulier l'aviation militaire, mais également dans l'aviation civile. Il me revient un autre épisode, mentionné par Webster Tarpley, et qui ne fait qu'ajouter aux indices sus-mentionnés : alors que Air Force One passe sa matinée à voler sans arrêt dans les airs américains, en attendant que la sécurité du Président soit assurée, soudain surgit à l'horizon la menace d'un avion, alors que l'air américain est en principe interdit aux vols réguliers. Manœuvre d'intimidation lancée par des militaires hauts placés dans l'état-major de l'USAF? En tout cas, Air Force One devra attendre plusieurs bonnes heures avant qu'une escorte militaire composée de chasseurs soit dépêchée pour assurer la sécurité pourtant vitale du Président.
De tous ces épisodes graves et concordants, on pourrait tirer une hypothèse que ne manque pas de relever Webster Tarpley : l'implication d'intérêts spécifiques à l'aviation, spécialement dans l'US Air Force, mais également dans des compagnies civiles. Voilà qui explique le recours si performant et si étudié (planifié) à des avions pour orchestrer le 911. Voilà qui montre que l'analyse rigoureuse et non occultée des indices relevés dans les avions permettrait sans doute de remonter aux commanditaires (alors que tous les moyens sont déployés par le FBI et les institutions pour empêcher le résultat public de ces relevés, autour du Pentagone mais aussi autour des Twin Towers. Que ne nous montre-t-on pas, entre autres, les boîtes noires et les expertises des moteurs qui démontrent que ce sont bien les avions incriminées par la version officielle qui se sont écrasés sur le Pentagone et contre les Twin Towers!). Peut-être pas aux commanditaires finaux; mais en tout cas à ceux qui se sont chargés de la logistique, sans doute au nom d'inclinations extrémistes, nationalistes et fanatiques.

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