lundi 28 juillet 2008

Le Chef de Gestion des situations d’urgence du WTC 7 était spécialiste en effondrement d’immeuble

Importante information concernant le talon d'Achille de la version officielle autour des attentats du WTC, j'ai nommé le Number Seven, effondré comme chacun sait des suites de ses incendies en quelques heures (!).

http://news.reopen911.info/

"par Paul Joseph Watson pour Prison Planet, le 10 juillet 2008

Jerome Hauer, l’ancien Chef de Gestion des situations d’urgence de la ville de New York, dont le bureau se trouvait au 23ème étage du WTC 7, était également spécialiste en effondrement d’immeuble, selon un article du New York Times récemment découvert. Hauer a attiré la suspicion du Mouvement pour la Vérité sur le 11/9 en raison de son zèle à promouvoir l’histoire officielle dans les heures qui ont suivi l’attaque, alors qu’elle était encore entourée de mystère.

Hauer était également directeur général de Kroll Associates - l’entreprise qui avait en charge la sécurité du complexe du World Trade Center le 11/9 - et il a trahi une connaissance anticipée des attaques à l’anthrax une semaine avant qu’elles ne surviennent.

Dans un article du New York Times du 27 juillet 1999 exhumé par 9/11 Blogger et intitulé Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ? C’est son boulot de le savoir, le journaliste Randy Kennedy livre une brillante étude sur Hauer.

"Il y a une histoire qu’il raconte où cette fascination est vraiment palpable… mais l’on peut difficilement rater une autre illustration, un peu plus métaphorique, quand on entre dans son bureau au 23ème étage du World Trade Center 7, connu aussi sous le nom de Bunker, le centre d’aide d’urgence de 13 millions de dollars à l’épreuve des balles, des ouragans et des pannes de courant inauguré par la ville le mois dernier."

L’article décrit le bâtiment 7 tel qu’il était, un objet à structure renforcée, inébranlable, construit dans le seul but de rester fermement debout dans une situation de crise, et non pas la boîte en carton-pâte soi-disant devenue le premier immeuble en acier de l’histoire à s’effondrer suite aux seuls dégâts des incendies, selon des démystificateurs (le terme original debunkers est également utilisé, NDT) tels que la BBC, History Channel, Popular Mechanics, et d’autres.

De fait, comme l’indiquait en 1999 Larry Silverstein, cité par le New York Times, les concepteurs du WTC 7 "ont intégré suffisamment de redondance pour permettre d’enlever des portions entières de planchers sans affecter l’intégrité structurelle du bâtiment", une construction solide qui fut de nouveau rénovée cette année "avec plus de 375 tonnes d’acier qui ont nécessité 19 kilomètres de soudures".

L’article décrit ainsi le rôle de Hauer : "En tant que Chef de Gestion des situations d’urgence, Mr Hauer supervise la réponse apportée aux effondrements de bâtiments, dont il n’a pas été privé ces trois dernières années".

Jerome Hauer photographié en 1996 avec Rudy Giuliani.

Pendant la plus grande partie de sa vie professionnelle, la tâche de Jerome Hauer a été d’en connaître un rayon sur le fonctionnement des choses de telle façon que lorsqu’elles ne fonctionnent plus - quand elles s’effondrent, quand on les fait tomber ou exploser, quand elles gèlent, ou éclatent, ou grillent - il sache quoi faire. Comme tous les accros des situations d’urgence, il reste assis à imaginer d’atroces manières qu’ont les choses d’être détruites et les gens de mourir, puis il espère que tous ses projets resteront sur l’étagère.

C’est pourquoi il est intéressant que Hauer ait eu son bureau installé au milieu d’un immeuble de 47 étages qui, le 11/9 en fin d’après-midi, s’effondra sur ses propres fondations en 7 secondes, alors qu’il n’avait été touché que par quelques débris et n’avait souffert que d’incendies mineurs.

L’article met l’accent sur les situations d’urgence qu’il énumèrerait dans son C.V. d’expert en "crash d’hélicoptère, en incendie dans le métro, en rupture de conduite d’eau, en tempête de neige, en canicule, en panne de courant, en effondrement d’immeuble, en effondrement d’immeuble, en effondrement d’immeuble."

Juste après les attentats, Hauer est apparu sur CBS avec Dan Rather, et il s’est mis aussitôt à fabriquer une explication péremptoire des événements et à broder une histoire qui est bientôt devenue l’histoire officielle.

Voir le clip.


La solution du 11 Septembre
envoyé par ReOpen911

Il est suspect que Hauer se soit empressé d’insister sur le fait que les immeubles n’avaient pas été détruits par des explosifs mais par les avions qui les avaient frappés, bien que cela fût en totale contradiction avec ce que les architectes et concepteurs principaux du WTC avaient conclu durant leurs études préalables sur l’impact d’avions dans les tours.

Quand le scenario commença à se développer, Hauer pointa aussi directement le doigt vers ben Laden.

Hauer déclara à Rather : "Mon sentiment, c’est que la seule vitesse de l’avion, et le fait que vous ayez un avion plein de carburant qui heurte le bâtiment qui a ensuite brûlé, c’est que la vitesse de l’avion a certainement eu un effet sur la structure elle-même. Ensuite, le fait qu’il ait brûlé et que vous ayez cette chaleur intense, ça a sans doute aussi affaibli la structure. Et je pense que, tout simplement, les avions ont frappé les immeubles et ont provoqué l’effondrement".

Rather demanda aussi à Hauer si les attentats avaient pu être réalisés sans être commandités par un État. Hauer répondit : "Je ne suis pas sûr d’être de cet avis, que cela a été forcément commandité par un État. Cela… porte incontestablement la marque de quelqu’un comme ben Laden".

Hauer était étonnamment "précis" dans sa connaissance anticipée de la manière avec laquelle l’histoire officielle semblerait plus tard confirmer la totalité de ses présomptions initiales en dépit du chaos environnant dans les heures qui ont suivi les attentats.

Le 11/9, Hauer était directeur général de Kroll Associates, une société de sécurité intimement mêlée au complexe militaro-industriel qui, par coïncidence, avait en charge la sécurité de tout le complexe du World Trade Center en ce jour fatidique.

De plus, ce serait Hauer qui aurait conseillé la Maison Blanche de prendre du Cipro, un antibiotique efficace contre l’anthrax, le jour du 11/9, et ce, une semaine avant que l’on ne reçoive la première lettre (empoisonnée ) à l’anthrax.

Deux mois après le 11/9, Hauer fit partie du jury du CFR (Conseil sur les Relations Etrangères) qui communiqua un document intitulé Groupe de Travail Indépendant sur la Réponse de l’Amérique au Terrorisme, lequel exigeait notamment que les explications alternatives du 11/9 soient neutralisées.

Le fait que Hauer ait fourni une récapitulation presque précise et instantanée des causes de l’effondrement des immeubles, fait sans précédent dans l’histoire, ajouté à son "expertise" dans le domaine des caractéristiques des démolitions contrôlées, sans compter sa connaissance anticipée des attaques à l’anthrax et sa position chez Kroll Associates, continuent à attirer légitimement l’attention parmi les chercheurs du mouvement pour la vérité sur le 11/9.

Traduit par Stéphane Barthe pour ReOpenNews"

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