lundi 30 novembre 2009

Comment t'erres

"Il ne s'agit pas du tout d'un droit du plus fort; mais plus fort et plus faible sont tous deux en ceci identiques qu'ils étendent leur pouvoir autant qu'ils peuvent."
Nietzsche, FP IX, 12 [48].

J'écoute Wotling qui est un des grands commentateurs reconnus et célébrés de Nietzsche en France - encore un brillant Normalien de la rue d'Ulm. Wotling vient de publier un commentaire de Nietzsche qui fera date pour au moins les trois prochains mois : Nietzsche, Le Cavalier bleu, collection Idées reçues, numéro 192 (septembre 2009).

Wotling incarne ainsi la confusion poussée au paroxysme entre l'historien de la philosophie et le philosophe. L'historien de la philosophie ou le commentateur est un répétiteur dans tous les sens du terme. Il ne crée pas d'idée au sens classique (platonicien), il répète les idées des philosophes reconnus (plus que moins) du passé. Le commentateur est quelqu'un qui prétend apporter une critique neutre, juste et lucide du philosophe qu'il commente. En réalité, il n'en est rien.
1) Il est très rare de tomber sur des commentateurs qui critiquent l'œuvre, c'est-à-dire qui jugent, évaluent et donnent leur avis, y compris par des critiques négatives et polémiques. En général, les travaux de commentaire servent à louer et à montrer la qualité quasi irréfutable de l'œuvre étudiée. Sans doute cette laudation hyperbolique permet-elle au commentateur de voir rejaillir sur sa propre entreprise purement répétitive une part du prestige qu'il attribue à l'œuvre commentée.
L'intervention de Wotling sert à énoncer que Nietzsche est un génie incompris, de ce fait injustement mal compris et mal commenté. A aucun moment, le propos n'émet une critique. Il se contente d'une positivité constante qui au final ôte la signification - sinon l'idée que Wotling comme ses congénères les commentateurs officiels est un fayot à failles, soit quelqu'un qui dit toujours du bien. Wotling : un commentateur qui vous veut du bien. Un historien qui vous veut du - rien. Dire toujours du bien revient à ne rien dire du tout. De ce point de vue, les failles de Wotling illustrent la faillite de la critique académique qui consiste à mécritiquer sous prétexte de critiquer, soit à louer de manière dithyrambique.
2) Les commentateurs ont le travers second de partir du postulat selon lequel la critique objective qu'ils incarneraient correspond miraculeusement aux valeurs du système académique dans lequel ils brillent. La valeur de l'académisme devient plus que suspecte quand on s'avise que les productions des commentateurs reconnus sont de pures répétitions, soit des œuvres académiques, desquelles est exclue toute forme de création et de philosophie. Ainsi de Wotling qui brille en tant que commentateur émérite de Nietzsche.
En l'occurrence, Wotling juge la pensée de Nietzsche en fonction des valeurs du système libéral démocratique dominant en France à notre époque. Du coup, il fait correspondre les valeurs de Nietzsche avec les valeurs démocratiques, ce qui ne manque pas de sel quand on connaît les engagements antidémocratiques et aristocratiques de Nietzsche (quand bien même l'aristocratie de Nietzsche désigne une création de valeurs et une dimension artistique).
Après Nietzsche le postmoderne gauchiste selon Deleuze, Nietzsche devient un libéral tiède et convenable tendance Wotling. Les raison de l'adoption de Nietzsche par les critères académiques du système immanentiste tiennent au fond au fait que Nietzsche est un philosophe immanentiste dans une période d'immanentisme. Nietzsche est le prophète de l'immanentisme tardif et dégénéré - en quoi Nietzsche est un philosophe très particulier et Wotling a grand tort de vouloir opposer le Nietzsche philosophe au Nietzsche non-philosophe, un manichéisme puéril qui cache le vrai visage de Nietzsche le nihiliste exalté et postromantique.
Venons-en au contenu de l'intervention de Wotling. Notre brillant commentateur qui est un perroquet savant affiche une diction si châtiée qu'elle confine au châtré. Il commet un petit livre dans lequel il explique, sans aucune prétention n'est-ce pas, qu'il va démystifier les préjugés populaires qui courent sur Nietzsche. Cette démarche signifie rien moins que notre Wotling national estime personnifier la vérité ultime et définitive sur la pensée de Nietzsche.
A tous les lecteurs de Nietzsche : si vous voulez comprendre Nietzsche, lisez le commentateur du sérail, coopté et reconnu par le sérail. Il vous expliquera la vérité et dissipera vos malentendus. C'est un esprit supérieur, qui fait de la répétition un chouïa mécanique et stéréotypée, mais supérieure. La preuve : ses diplômes académiques sont du meilleur crû. La prétention de Wotling confine à la démesure grecque. Sous son air de commentateur lisse et serein, posé et calé (dans tous les sens du terme), nous avons affaire à un porte-parole du dogmatisme systémique : si vous escomptez comprendre Nietzsche, mes petits cocos, adressez-vous à ma science sans égale. J'incarne la vérité sur Nietzsche. Enflure de l'égo : propension à se croire supérieur, voire indispensable. On commence par enfler, on finit en enflure? L'excellence académique de Wotling ne lui fait pas seulement oublier l'essentiel de sa condition de commentateur : il n'est pas philosophe. Elle le pousse aussi à se croire la voix autorisée sur Nietzsche.
C'est l'Éternel Retour de la dictature sorbonnarde de la pensée académique, typiquement scolastique. Au secours! Par dons! Notre brillant Normalien de la rue d'Ulm n'est pas seulement le détenteur de tous les plus beaux diplômes du monde (euh : de France); il est aussi le summum de la bêtise dogmatique travestie en scientificité historique et objectivité commentatrice. Quand on a compris qu'on écoutait pérorer un scoliaste de la Sorbonne, un superscoliaste hypertrophié au sentiment grisant d'être le commentateur des commentateurs, l'hypercommentateur, on reliera la passion nietzschéenne de Wotling au passé philologique de Nietzsche: être le commentateur d'un philosophe-philologue, c'est le comble du commentateur sur-diplômé.
Être brillant et creux à la fois, pour pasticher un grand chanteur belge de langue française, dont la tendresse touchante n'a d'égale que l'exaltation sombre. A l'aune de cette méthode scolastique et académique, qui consiste à répéter sans jamais inventer, on tient la première vérité qui explique pourquoi le commentateur-scoliaste prétend d'autant plus à l'objectivité translucide qu'il déforme grossièrement le penseur qu'il commente : il appauvrit la pensée en la tirant du côté de ses présupposés implicites et inavouables.
Le seul moyen de produire un commentaire critique de qualité consiste à critiquer à partir de sa propre pensée. On a donc deux critiques déformantes : l'une créatrice; l'autre répétitive. D'où une vérité qui n'est guère réjouissante pour les scoliastes et les sorbonnards de tous poils : le meilleur moyen de lire une œuvre consiste à la déformer de son point de vue. La lecture est formation à condition qu'elle déforme. La lecture ne forme que si elle vous forme. La lecture ne forme que si elle enrichit et incite à la création. Une bon auteur est un créateur qui incite à la création. De ce point de vue, Nietzsche est un bon auteur - Wotling une perte de temps si on le lit comme il le voudrait, au pied de la lettre.
Le lecteur tient ce que l'académisme dominant nomme non sans emphase pompeuse la rigueur : le fait de répéter purement tout en reprenant les valeurs du système. Être plus capable de répéter systémiquement les codes académiques que de répéter les idées du penseur commenté. La répétition-déformation aboutit au pire contresens : l'objectivé sert la médiocrité, celle qui consiste au nom de l'esprit critique à biffer l'esprit critique et à ne conserver qu'un assentiment de surface et de façade.
Une fois que l'on a compris que Wotling était là :
- pour faire concorder Nietzsche avec le système démocratique et libéral;
- pour défendre inconditionnellement le point de vue de Nietzsche (en le conciliant avec le point de vue dominant),
on peut s'apprêter à analyser son propos. Wotling prétend dans cette vidéo critiquer les préjugés concernant deux notions-phares de Nietzsche : la volonté de puissance et la définition des forts. Je laisse le lecteur juger des arguments énoncés dans la vidéo et me reporte au commentaire même de Wotling. En particulier, je me suis exclusivement centré sur l'examen des plus forts, dont Wotling entend démystifier les préjugés. Nous allons constater de quelle manière il procède et de quelle manière il déforme.
Les spécialistes de Nietzsche sont à l'aise pour dissiper les malentendus quant à l'œuvre du philosophe allemand dans la mesure où Nietzsche a été outrageusement repris et déformé par les nazis et les nationalistes de tous bords. Questions auxquelles les commentateurs chevronnés ne répondent jamais (et pour cause) : comment se fait-il que Nietzsche ait été toujours déformé par les mêmes extrémistes nationalistes à dominante néo-nazie? Comment se fait-il que le penseur emblématique du nazisme, quoiqu'il l'ait désavoué de la plus ambiguë des manières, le fameux Heidegger, ait consacré tant de temps à analyser l'œuvre de Nietzsche?
Outre cette première impasse que les commentateurs se gardent bien de critiquer, sans quoi ils feraient de la vraie critique et non de la répétition systémique, Wotling et ses acolytes clonés et perfusés sur le même moule se livrent à une seconde impasse qui est un véritable sens interdit : Nietzsche ne saurait être critiqué dans le sens où il aurait commis des erreurs idéelles et logiques. Horreur! Damnation! Le critère de la vérité des historiens de la philosophie a été livré par Deleuze avant qu'il se jette par une fenêtre un jour de vieillissement désespéré (le jour où il s'est aperçu qu'il avait trahi son destin de glorieux sorbonnard pour un rôle de méchant philosophe spinozo-nietzschéen?) : la vraie logique est interne. Une œuvre qui est cohérente à l'intérieur de sa structure est une œuvre rigoureuse et logique.
A ce compte, on peut tout légitimer et l'on ne peut jamais se montrer en désaccord puisque la seule critique valable est extérieure et novatrice. La vraie critique de Schopenhauer est celle de Nietzsche, plus que celle du commentateur de Schopenhauer qui se contente de le répéter; et de ce point de vue la critique de Nietzsche est plus riche de sens que la critique d'un Rosset.
Quant à la critique de Wotling, nous allons en prendre l'archétype métonymique dans le chapitre premier de la troisième partie. La technique argumentative de Wotling consiste sous couvert de pratiquer la critique des idées reçues à enfoncer des portes ouvertes. Il s'attache à démystifier les plus caricaturales des idées reçues, ce qui constitue par ricochet une caricature de critique sous prétexte de critiquer la caricature. La troisième partie s'intitule "Nietzsche est un apologiste de la force brutale", ce qui est une curieuse manière de définir la force et qui constitue le meilleur moyen de réfuter une idée stupide et aberrante.
Quand on parle de droit du plus fort, ou de loi du plus fort, on ne désigne presque jamais la force brutale, qui renvoie à la force physique. Nul besoin de pratiquer une critique anthropologique détaillée pour s'aviser que ce n'est pas la force physique qui gouverne les relations humaines. En se référant au plus grand des philosophes, qui est l'ennemi de Nietzsche, mais que Nietzsche a échoué à détrôner, ce qui mériterait un vrai questionnement, à ce Platon qualifié de précurseur (élitiste) du christianisme, on tient un texte qui aborde ce sujet. Le Gorgias envisage plusieurs points de vue qui défendent la loi du plus fort. A ma connaissance, aucun des adversaires de Socrate ne défend la loi du plus fort en tant que force physique pure. Personne de conséquent ne défend le principe de force physique pure.
Wotling nous distraie avec des simplismes rebattus. Platon montre que la loi du plus fort s'appuie sur des arguments irrationnels (discours toujours changeant et cassant de Calliclès) et masqués (éloge de la rhétorique et des beaux discours de Gorgias). Quant au premier chapitre de Wotling, il s'intitule "Nietzsche méprisait les faibles et défendait le droit du plus fort". Toujours la mascarade sous couvert d'esprit critique.
Si le droit des plus forts désigne la force physique, c'est une imposture caractérisée. S'il désigne les forts dans le vocabulaire nietzschéen, ne perdons pas de temps à ergoter et considérons ce que Wotling nous explique sur les forts et les faibles. Au passage, je ne sais au juste si Nietzsche méprise les faibles, mais il n'est pas loin de ce sentiment et le moins qu'on puisse insinuer, même face à un ratiocineur qui joue sur les mots sous prétexte de les analyser, c'est que Nietzsche considère de manière négative les faibles.
Venons-en à l'explication de Wotling contenue dans ce passage. Wotling recommence avec sa manie de la déformation : "Interpréter le premier traité de la Généalogie de la morale dans le sens d'une apologie de la violence, d'une admiration pour la brutalité et d'une glorification de l'agression est irrecevable". C'est typiquement la déformation proto-nazie que Wotling s'empresse de critiquer. La technique rhétorique consistant à prêter au point de vue adverse des positions caricaturales faciles à démystifier est bien connue des propagandistes (et des analystes des techniques de propagande).
Wotling continue à enfoncer des portes ouvertes en nous expliquant à plusieurs reprises que la force et la faiblesse sont "des termes strictement relatifs" qui désignent la santé et la maladie : "La terminologie de la force et de la faiblesse (...) permet de dire, et veut dire de manière primordiale, bien plutôt l'évaluation en termes de santé et de maladie, que la potentialité ou le degré de brutalité susceptible de s'exprimer". Wotling continue à répondre à une fausse objection (le droit du plus fort est d'ordre physique), alors que la vraie objection est précisément que le droit du plus fort ne s'apparente pas (selon Platon en particulier) à la force physique et à ses corollaires synonymes.
Qu'entend alors Nietzsche par force? "La force désigne un pouvoir d'organisation et de contrôle de ses propres pulsions, bref de maîtrise de soi, et non de déchaînement". "La force véritable (...) se dévoile dans le calme, voire le choix de se tenir à l'écart." Wotling en déduit : "On notera au passage l'opposition très significative de la force réelle à l'inclination à dominer." Ah bon? Wotling cite pourtant un passage d'Aurore dans lequel Nietzsche lance : "J'ai trouvé la force là où on ne la cherche pas, chez des gens simples, doux et affables, sans la moindre inclination à dominer - et inversement, l'inclination à dominer m'est souvent apparue comme un signe interne de faiblesse. [...] Les natures puissantes dominent, c'est une nécessité, elles ne remueront pas le petit doigt. Et même si elles s'enterrent toute leur vie dans un pavillon au fond d'un jardin."
En gros, avec le recours aux italiques, Nietzsche nous explique que les faibles dominent par la violence quand les forts dominent autrement, par une domination nécessaire, qui n'est pas définie plus précisément. La conclusion de Wotling sur l'opposition entre force réelle (non définie) et inclination à dominer (définie comme domination violente) est spécieuse, surtout si on évoque l'existence d'une domination des forts opposée à la domination des faibles.
En d'autres termes, le commentateur brillant et diplômé Wotling nous explique sans sourciller que ce qui est n'est pas et que ce qui n'est pas est. Désolé, nous ne validerons pas sa démonstration sophiste au motif qu'il est bardé de diplômes. Au contraire, nous en conclurons que son brillant lui confère une technique de commentateur qui le contraint à mal philosopher sous prétexte de prendre la défense de son auteur chéri. En fait, l'absence de définition de la force et l'absence de distinction entre les forts et les faibles renforce la critique qu'opère Platon de manière prémonitoire.
Selon Platon, la définition de la force repose sur l'irrationalisme et le propre du droit du plus fort est d'avancer dans le déni et sous le masque. Nietzsche dresse l'éloge du masque. Wotling aura beau clamer partout que ce n'est pas du tout ce que l'Incompris des esprits de plomb voulait dire, patati patata, la réalité, c'est que Nietzsche reprend point par point l'argumentaire dévoyé de Gorgias et des sophistes. Ce que Nietzsche définit comme la force n'est pas défini, ce que Nietzsche définit comme la faiblesse n'est pas défini et n'est pas distingué de la force.
Wotling entérine une définition forcée de la force. Rappelons que Wotling lui-même évoque le relativisme des valeurs de Nietzsche, position qui est celle des sophistes et des nihilistes. Nous retombons sur nos pieds et nous remettons du sens là où le sophisme nage dans la confusion et l'amalgame. Quant à la définition de la santé selon Nietzsche, la santé du fort est une notion circulaire, au sens où elle ne définit rien et renvoie aux valeurs imprécises analysées précédemment. Les analystes de la santé sont incapables de définir ce qu'est la santé de manière précise et finissent par avouer que la conception de la santé est arbitraire - fort relative.
L'irrationalisme de Nietzsche est validé par le commentateur Wotling à force d'explications favorables et acritiques. Le pompon est atteint quand Wotling prétend réfuter le droit du plus fort au nom du fait que la force et la faiblesse désigneraient des états universaux relatifs à l'homme : "Plus forts ou plus faibles, tous les vivants participent d'une même réalité dont Nietzsche montre qu'elle est toujours caractérisée par la tendance à l'intensification, à la victoire sur les obstacles rencontrés - ce que veut désigner la formule de volonté de puissance."
Désolé, mais cette phrase comme les explications antérieures de Wotling montre qu'il existe un droit du plus fort au sens où les plus forts et les plus faibles participent d'une même réalité. Qui a dit que le droit du plus fort consistait à ne pas participer à une même réalité? Wotling s'enferre et s'enferme dans ses distinctions oiseuses. Quand il avance que "l'idée de prendre parti pour un droit du plus fort est purement dénuée de sens chez Nietzsche puisqu'elle contredit la réalité même", Wotling se contredit ostensiblement, lui qui dans la phrase précédente reconnaît explicitement l'existence de plus forts et de plus faibles au sein de la réalité unique selon Nietzsche.
Le droit du plus fort désigne chez Nietzsche le droit du plus fort selon Nietzsche - et je m'excuse pour cette évidence un brin tautologique, mais nous nous situons chez Nietzsche dans l'univers de la tautologie, ce qu'a bien remarqué à rebours Rosset. On ne voit pas en quoi le droit des plus forts contredirait le principe d'une réalité unique, y compris dans une conception de la force physique ou dans un sens de violence qui reste à préciser - et qui ne l'est nullement.
Pour finir ce chapitre de démystification partiale, Wotling aborde la notion de surhomme qu'il réfute pour lui préférer l'appellation de surhumain. Je n'examinerai pas ce qu'il en dit, car c'est assez redondant dans la distinction pompeuse entre surhomme et surhumain. Je sais bien que les nazis ont déformé le surhomme et l'ont rapporté à leurs conceptions guerrières et destructrices, mais ce n'est pas parce qu'on change de nom qu'on change la réalité que ce nom désigne. Wotling se rend-il compte qu'il propose de fausses définitions à partir de déplacements arbitraires et non définis de noms?
Laissons là le surhomme/surhumain sachant que Wotling n'a pas été en mesure de définir la force au sens nietzschéen et qu'il s'est contenté d'une définition négative : la force n'est pas la force physique. Surtout pas! Merci. La pluie n'est pas le feu et ne brûle pas. La pluie mouille. Ouille! Aïe! Au secours! Je suis fatigué - de ces commentateurs qui usurpent le nom de philosophe pour opérer un travail de brouillage diacritique dont le but premier est de louer le philosophe examiné - et le but principal et implicite est de relier les valeurs exceptionnelles et incomprises du philosophe avec les valeurs dominantes du système en question.

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